mardi 30 juillet 2013

Les hormones !

Pourquoi je le désire toujours autant  ? Pourquoi j'ai tant besoin et tant envie de lui obéir, qu'il puisse jouer avec moi, avec mes envies, mes excitations... ? 
Ces derniers temps, j'ai envie de Maître comme pas permis. C'est la première fois que je ressens cela. Il n'y a pas un jour où je peux me trouver à ses côtés, le sentir, le ressentir, le toucher, le regarder, sans avoir envie de... 
Je sais que je peux aimer le sexe mais là la sensation est totalement différente. C'est beaucoup plus que cela. Je tente de pouvoir décrire ce que je ressens mais impossible de trouver les mots qu'il faudrait pour qu'on puisse me comprendre. 

J'ai même réussi à me faire punir pour ça. Comment peut il me punir pour quelque chose que je n'arrive pas à contrôler ?? Il doit bien s'en douter : lui non plus ne m'a jamais vu comme ça. 
A croire que plus j'étais en manque, plus j'étais frustrée, plus je me sentais en manque de pouvoir me sentir sienne, de pouvoir lui obéir, plus il était distant et faisait comme si de rien était. 
J'ai tenté de pouvoir me faire comprendre comme je pouvais sans pour autant faire de demande car je sais qu'il n'aime pas ça et n'aura pas apprécier : en d'autre terme, j'ai voulu rester à ma place au mieux possible. 
De ce fait, j'ai pu lancé quelques pics pour que Maître puisse tenter de voir "qu'il y avait un souci" voir au mieux qu'on puisse tenter d'en parler pour trouver une solution. 

Cela fait trois semaines qu'il est en vacances et j'ai poursuivi mes efforts dans la vie quotidienne. Bien sûr, je n'arrive pas à la perfection mais je pense qu'il a pu remarqué mes efforts. Le pire est que j'arrive à les faire de bons coeurs. 
Contrairement à avant, je n'attends rien de spécial, pas de contrepartie, pas de récompense particulière : uniquement pouvoir le satisfaire au mieux possible, mieux qu'avant. 


N'arrivant pas à me contrôler, à maîtriser mes pulsions, à la longue, je ne me rendais même pas compte que je m'amusais à lancer des pics à gogo à Maître. Sur le coup, il ne disait rien. Il laissait passer. Justement, Maître qui ne dit rien, en moyenne, c'est pas bon signe... 
Comment s'arrêter quand on se rend de compte de rien ? Quand on s'aperçoit pas qu'on a dépassé certaines limites. 
Alors oui, arrivé à un moment donné, Maître, malgré sa patience (et je lui en remercie) a décidé de me sanctionner. Quand il a commencé à me faire comprendre que j'allais trop loin, j'ai commencé à songer à demander une sanction (mais je devais attendre que nous soyons plus intime et plus disponible pour ça) mais je ne pouvais pas m'empêcher de me dire : mais non, il peut pas te punir pour ça, si ??? 

Et bien je confirme que si ! Je n'ai pas eu le temps de demander ma sanction que Maître avait pris les devants : oups, doublement fautive... pas bon pour moi ! 
Cependant, Maître fut bien indulgent de m'entendre, m'écouter et pouvoir me punir en l'absence des enfants. 
Avant qu'il puisse me punir, cela a pu me donner à réfléchir, me remettre en question : j'ai pu manqué autant de maîtrise de moi  ? j'ai pu autant le gonfler ? comment j'ai pu me laisser aller par mes pulsions alors que d'habitude j'arrive à prendre sur moi ? l'ais-je autant déçu que ça (du moins déjà le decevoir c'est deja de trop) ? 

La punition fut beaucoup plus psychologique, cérébrale que physique au fond... Ce qui est beaucoup plus efficace me concernant. En quelques jours, il a très bien qu'il avait réussi à me faire culpabiliser de mon comportement notamment en cours de l'acte sexuel malgré que j'avais l'autorisation de pouvoir me lâcher. Chaque fois que j'avais son feu vert, j'avais comme un ressenti d'amertume profonde... C'était horrible ! J'ai même fini par lui en parler et c'est là qu'il m'a expliqué la manoeuvre de sa punition. 
Même si je n'aime pas être punie et que je trouve injuste sur cette cause là, l'essentiel est que j'ai pu de nouveau le satisfaire, d'une manière ou d'une autre et c'est tout ce qui compte pour moi ! 


Je n'arrive pas à m'enlever de la tête que le stérilet n'y ait pas innocent pour autant... malgré que je tente de continuer à m'y adapter avec un grand mal. 

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